T'aurais quand même dû investir dans ce kit mains libres

De quoi se rappeler un sketch de Fernand Raynaud...  


Publié le 30/03/2023

Montpellier : en voilà un qui doit regretter de s'être fait arrêter pour avoir téléphoné en conduisant

Force est de reconnaître que les policiers ont eu le nez creux, ce dimanche 26 mars vers 20 heures, en interpellant ce conducteur âgé de 28 ans.


Ce n'était pas le jour de ce vingtenaire... MIDI LIBRE - ILLUSTRATION SYLVIE CAMBON

Il faut croire que ce n'était pas le jour de ce conducteur, âgé de 28 ans, interpellé ce dimanche 26 mars aux alentours de 20 heures alors qu'il circulait sur la Voie-Domitienne, secteur Boutonnet, avec son téléphone portable collé à l'oreille.

Une infraction qui aurait dû "seulement" lui coûter 135 € et trois points. Encore aurait-il fallu qu'il soit titulaire d'un permis de conduire ! 
Mais, c'était aussi sans compter que le véhicule était dénué d'assurance.

Une perquisition payante

Des investigations plus poussées ont mis au jour que l'intéressé faisait aussi l'objet de deux fiches de recherche. L'une pour une interdiction de paraître sur le territoire national et l'autre pour une obligation de quitter le territoire français (OQTF).

Mais pire encore, les fonctionnaires de police ont découvert lors de la fouille du véhicule qu'il transportait six savonnettes de résine de cannabis d'un poids total de 600 g et 1 215 € en petites coupures. 

Ses empreintes ont parlé

Une perquisition diligentée au domicile de sa compagne a également permis la découverte de quelques grammes d'herbe et de résine de cannabis, de deux balances de précision et de 1 555 € en espèces. Voilà qui fait beaucoup pour un seul homme.

Placé en garde à vue, le mis en cause a nié les faits donnant une mauvaise identité. Ce n'est que sur la base de ses empreintes que les policiers ont pu l'identifier formellement. Ce qui est constitutif d'un délit. Il a finalement été déféré au parquet ce mercredi matin, après 48 heures de garde à vue.

Il y a des jours comme ça !...

LAURENT VERMOREL


Ne dites pas à ma mère que je suis co-admin chez FGI Elle croit que je suis gogo-dancer dans un bar gay

Ouh la la. Le rappel à la loi va etre sévère !!!

La totale ! ben oui, si il y avait encore des flics sur le bord des routes pour faire des contrôles, ce gars serait sans doute reparti depuis un moment. Mais les gouvernants préfèrent s'en remettre aux radars et autres technologies qui permettent à ces personnes de passer au travers du filet (à larges mailles). 
Et je vous fiche mon billet ( ) qu'il ne repartira pas, il va s'évaporer dans la nature....